En effet, un patient a droit au respect de sa vie privée et au respect du secret des informations le concernant. Mais dans certains cas prévus par la loi, le médecin doit lever le secret médical.
Violences faites aux femmes : que va changer la levée du secret médical ? Les médecins peuvent désormais alerter la justice lorsqu’ils estiment que les violences mettent la vie de leur patiente en. Même s’il ne pèse sur lui aucune obligation, le professionnel de santé peut faire le choix d’informer les autorités judiciaires.
Parler…au risque d’une violation du secret médical ? Le médecin, et plus généralement tous les professionnels de santé et auxiliaires médicaux, doivent impérativement respecter le secret médical. Toute violation du secret médical peut exposer à des sanctions pénales.
En cas de décès, vos héritiers peuvent demander la levée du secret médical pour connaître les causes de la mort, défendre votre mémoire ou faire valoir leurs droits en tant qu’héritiers sauf si vous vous y êtes opposé de votre vivant. Secret médical, consentement du patient : « Toutes les digues ont cédé » ENTRETIEN. Le traçage et le fichage ouvrent une nouvelle brèche dans la violation du secret médical, observe le.
Levée du secret médical Le 24. Stéphanie TAMBURINI, Juriste MACSF Fort heureusement, il est rare que le médecin soit confronté, dans sa pratique quotidienne, à un patient qui lui annonce son intention de commettre une agression ou un meurtre.
Ses défenseurs mettent en avant la relation. Un texte de loi permet de lever le secret médical en cas de violences conjugales mettant en danger la vie d’une patiente. Le secret médical et fondement juridique. La loi sur la protection des victimes de violences conjugales, définitivement adoptée le juillet à l’unanimité par le Sénat, autorise par son article la levée du secret médical pour.
Le patient a droit au respect de la confidentialité des données le concernant. Les professionnels de la santé ont l’obligation de respecter le secret professionnel, aussi appelé secret médical.
Ils doivent garder pour eux les informations dont ils ont eu connaissance dans la pratique de leur profession. Sauf exception prévue par la loi.
Un médecin pourra désormais lever le secret médical pour signaler les violences conjugales subies par une patiente. Le Sénat a voté mardi juillet, une proposition de loi destinée à. Il y aura donc désormais une nouvelle exception au secret médical en cas de "danger immédiat". Je n’ai pas, et n’aurai jamais les compétences pour juger un crime, je n’ai pas et n’aurai jamais les.
Prenons l’exemple d’un service de maladies infectieuses, confronté aux questions de secret médical s’agissant des patients séropositifs pour le VIH. Dans ce service, à chaque hospitalisation, il est demandé au malade de préciser par écrit le nom des personnes pour lesquelles il autorise la levée du secret médical.
De son vivant, seules les personnes indiquées reçoivent les. Les informations concernant une personne décédée peuvent être délivrées à ses ayants droit dans la mesure où elles leur sont nécessaires pour leur permettre de connaître les causes de la mort, de défendre la mémoire du défunt ou de faire valoir leurs droits – sauf si le patient s ’est opposé au partage du secret.
Explications sur cette mesure qui fait débat. Mais uniquement dans le cas où ces patientes seraient en situation de "danger vital immédiat". Pour dire vite, d’ordinaire le secret est total, le médecin n’étant par exemple jamais délivré dudit secret, même à la demande du patient.
Au sein de la communauté médicale, les chirurgiens plaident eux aussi pour la levée du secret médical. Auparavant, le secret médical pouvait être levé en cas de privations ou sévices laissant supposer que des violences physiques, sexuelles ou psychiques ont été commises. Ensuite parce que cette levée du secret pourrait porter préjudice aux patients victimes de violence.
Certains professionnels de santé voient d’ailleurs dans celle levée du secret médical un risque de mise à mal de la confiance des patients à l’égard de leur médecin”. Retrouvez l’intervention de Marie-France LORHO. Aux termes de l’article 9du code civil, une des conditions pour consentir une donation est, en effet, d’être sain d’esprit. La levée du secret a été permise dans les affaires suivantes.
Un expert judiciaire a le droit, par exemple, de consulter le dossier médical d’une patiente ayant fait une donation avant de décéder, pour vérifier si l’acte est valable. Une pétition a été lancée.
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